1 août 2011
1
01
/08
/août
/2011
19:31
Je reste là
Sans ma peur
Sans mes désirs
Je reste las
De tous les infinis
Moments pures et anodins
Je reste las
Pour m'imaginer
En nudité
Dans tes draps
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
21 octobre 2010
4
21
/10
/octobre
/2010
23:22
On c'est rencontrés sur cette épais manteau blanc
Sans nous en rendre compte nous glissions,
L'un vers l'autre, c'est certain
Nous ne savions rien l'un de l'autre
Pour ma part tu n'étais pas d'ici
Je devais être bizzare à notre première rencontre
Tu as éblouis ma journée, mon âme
Et depuis ce temps je t'attend sans y croire
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
15 août 2010
7
15
/08
/août
/2010
22:51
Tu es
Étendus
Nue sur mon lit
Tes désirs accrue
Par l'envie
Tu souffres
Bonnement
Des caresses
Brûlantes
Dans mon
Appartement
Tu exauces
Tes envies
Charnelle
De mon corps
Qui te veux
Nue et fort
Dans mon
Appartement
Et tu jouies
De la chaleur
De nos corps
Quand l'extase
Chatouille nos oreilles
Simplement
Dans mon
Appartement
Tu t'enivre
Chaque nuit
De nos corps
En surchauffe
De nos tord
En attente
De ton
Invitation
Au vas et viens
Au creux de tes reins
Au toucher de tes seins
A l'appel de tes mains
A la douceur
De ton regard
THOMΔ
Il me semblais normal d'expliquer mes motivations pour ce poême agicheur : j'avais envie ce soir d'effleurer le désir en poésie. J'aime parler de cette acte d'amour infinie sans le faire passer pour un acte obligatoire, juste illusoire et tellement amusant. J'aime l'amour et le désir des corps en chauffe dans un moment d'intimité infinie.
Merci de lire mes textes, merci pour ceux qui lisent souvent mon travail sur les mots.
Ce texte est à lire avec la musique l'appartement de noir désir.
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
9 mars 2010
2
09
/03
/mars
/2010
18:58
Sommes-nous heureux ici bas ?
Sans toi je me retrouve las
Ce bonheur sûrement éphémère
Je refuse l'errance de la terre
Nous ne serons en aucun cas séparer
Par ce brin de mer tellement froid
Ne retourne pas glaner
L'horreur de te savoir en croisade
Viens, t'enivrer à mes cotés
Toute la nuit nous est réservée
Pour ce préserver de toute ivresse
Sans trop d'allégresse
Serons-nous heureux tous les deux ?
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
2 mars 2010
2
02
/03
/mars
/2010
18:27
Simple plaisir éphémère
Que la terrasse ensoleiller
D'un petit café sur terre
J'aperçois les gens bavarder
Mes voisin sont insouciants
Je les observe impunément
Par leurs bavardages bien heureux
Une fillette passe en chantonnant
La pureté de mon âme viens à s'exprimer
Par la douceur de cet instant, je m'en vais pleurer
Un jeune couple rit sur la dureté de la vie
Un ancien boit un demi avec ces amis
Le vent chatouille le visage de ces passants
Une brise de vent caresse l'esprit de ces brigands
La chaleur du soleil réchauffe les coeurs blêmes
Le visage me brûle, le printemps arrive enfin !
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
27 février 2010
6
27
/02
/février
/2010
12:02
Nous serons dans la rue
Nous serons bien heureux
J'ai rêver de toi, tu était nue
j'ai penser te revoir, tu le veux
Sans aucun solvant de la vie
Pieuse énergie tant gaspiller
Quand je te verai, va tu sourire ?
C'est avec joie que je veux tes yeux
Nous serons grandis de cette expérience
Quand nous serons vieux,
Sera t'ont heureux ?
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
26 février 2010
5
26
/02
/février
/2010
10:36
Je me souviens encore de la caresse de ton esprit sur le miens
Ta voix rassurente appaise mon coeur si triste par le va et viens
De la mort sur mes proche.
Sentir, toucher, voir, entendre et goûter à ta peau si fine
J'aimerai tant recommencer cette expérience rarissime
Le banc de notre rencontre et sa musique résonne dans mon cerveau
Ton rire apaise mes colères : les horreurs de la guerre
Mon dieu, mon dieu mais que vais-je devenir sans toi ?
Sans aucun doute je vais finir à terre
Mais viens me sauver de mon esprit destructeur
Je t'attend, tous simplement
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
20 février 2010
6
20
/02
/février
/2010
19:14
La ville est terne, noir et triste
Comme tous ces habitants tous robotisé
Je m'assois sur ce simple banc, une belle musique résonne
Tous sonne comme dans une scène et tu arrive à mes cotés
Tu te déplace avec grâce et une troublante aisance
Le sourire au coin des yeux, je te sens venir
Tu installes ton corps et ton âme sur ce banc
Avec joie tu exprimes ta merveilleuse pensée
Je m'abreuve de tes douces paroles et me délecte de tes rires
C'est inattendus et merveilleux, on ce rencontre et c'est encré dans mon coeur
Ainsi que dans les sentiment de mon humanités
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
16 février 2010
2
16
/02
/février
/2010
22:50
Ô louise te souviens tu de cette nuit ?
Nous avons commencés par nous enivrer
Certains ce sont couchés mais nous avons veillez
Il était tard cette nuit et pourtant on ce sentais grandis
Dans ce champ d'herbe embrumer par la douceur de la nuit
A chaque instant, de plus en plus proche, l'astre allais refaire une nouvelle journée
Il recommençais ça si jolie rotation
La nuit était en train de partir au loin
Mais nous étions là, à t'attendre si jolie soleil C'est ainsi que le champ ou nous étions ivre
C'est transformé en colline où le vert de l'herbe nous chatouillais les pieds
Au milieu de se champ d'herbe verte, un bosquet d'arbre sombre nous émerveillais
J'étais époustoufler de ce spectacle qui étais unique à nos yeux nue
Le soleil est majestueux au yeux de beaucoup mais dans ce paradis plus rien ne comptais
La musique douce et calme résonnais dans nos oreilles
L'odeur pâle de la matinée enracinais nos entrailles
Le toucher de l'herbe humide devenais inaudible
Il recommençais ça si jolie rotation
La nuit était en train de partir au loin
Mais nous étions là, à t'attendre si jolie soleil Enfin il est venus nous embrassez de ces rayon
Et la chaleur de son âme nous a fait oublier tous le malheur
Le paradis nous l'avons connus et nous ne l'oublierons pas
Ce matin là c'etait une rennaissance de nos âmes perdus
La nuit était en train de partir au loin
Mais nous étions bien
THOM
Δ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie
16 février 2010
2
16
/02
/février
/2010
20:23
Je te regarde encore et encore et je me rappelle
L'aisance que nous avions tous les deux,
Nous étions, il me semble, heureux
Le souvenir s'éfacce mais les émotions si belle quelle soit reste implanté dans mon âme,
Mon esprit et l'ensemble de ma si jolie vie que j'aspire à regarder sans pleurer
Tu fais jallir dans mon corps des larmes de souffrence que jamais je ne connais
L'absence de tes désirs me font espérer que la mort viendrat pour assouvir mes addiction
Je ne te repproche que ton absence de mon existence aussi réel que incertaine.
Mais cette soudaine envie d'inéxistence part de mon vide mental
Je te suis addict
Je te suis
Je t'embrasse par tous les désirs que je puis enregistrer.
THOMΔ
Published by THOMΔ
-
dans
Joie